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Parmi les très nombreux livres publiés sur la Seconde Guerre mondiale, certains se distinguent par la qualité des recherches effectuées, une passion justement maîtrisée, la solidité et la clarté de l'exposé. Les ouvrages de Marcel Ruby, de toute évidence, sont de ceux-là. Engagé volontaire dans la Résistance, grièvement blessé au maquis, Marcel Ruby a vécu " de l'intérieur " bien des événements qui ont marqué la douloureuse période de la guerre de 1939-1945. Agrégé de l'Université, docteur ès lettres, il a pu ajouter, à l'irremplaçable expérience de l'homme d'action, les méthodes d'analyse et la réflexion de l'historien. Cette œuvre, qui ne compte pas moins d'une vingtaine de volumes, s'ordonne pour une très large part autour de l'histoire de Lyon et du département du Rhône. Elle contribue fortement à bien mettre en lumière une époque difficile, encore récente, demeurée très présente à nos esprits, et qui mérite assurément d'être étudiée en profondeur et mieux connue dans toute sa vérité. L'ouvrage aujourd'hui réédité représente une précieuse contribution à l'iconographie de la Seconde Guerre mondiale à Lyon et dans le département du Rhône. Il est pour ceux de nos contemporains, qui ont vécu cette période, un témoin et une occasion de se souvenir. Il est aussi, pour les historiens, un recueil fort utile.

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Lyon à 2000 ans. Vingt siècle d'histoire.D'un grande histoire qui s'identifia longtemps avec celle de notre pays.

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De Mandrin, bandit au grand coeur - mais, hélas, aussi meurtrier - à Joël Matencio, faux terroriste mais vrai criminel, que de crimes ont émaillé l'Histoire du département ! Les Grandes Affaires Criminelles de l'Isère retracent ainsi une trentaine de dossiers judiciaires qui ont défrayé la chronique régionale de 1755 à 1981. La guillotine viendra très souvent, dès l'aube, installer sa silhouette sombre pour trancher le fil du destin d'hommes ou de femmes malfaisants... Le parcours sanguinaire de Joseph Vacher, le premier serial killer français, est d'ailleurs ici retracé avec talent. Du plateau mathésin jusqu'aux rives du Rhône, toutes ces histoires ont laissé des traces dans les mémoires : Livache, l'instituteur empoisonneur de La Motte d'Aveillans ; l'énigme de la malle sanglante de Moirans ; l'auberge des étrangleurs de Péage de Roussillon ; le séminariste assassin qui inspira Stendhal pour Le Rouge et le Noir ; les meurtres dans le massif du Vercors composent des parcours et des événements douloureux difficiles à assumer... Autant de drames - qui a oublié la tragédie du 5-7 ? - qui auront tourmenté les Isérois avant de venir frapper à la porte des cours d'assises...

Le temps qu'il faisait hier va-t-il devenir le bon vieux temps qu'on regrette en ce siècle où les cassandres nous prédisent un réchauffement planétaire ? Rien n'est moins sûr. Car les aléas climatiques ont offert à chaque siècle et à chaque région leur lot de bonnes et de mauvaises surprises, de temps idéal et de catastrophes naturelles. À partir des années 1500, les chroniques locales se multiplient et les curés se mettent à noter, dans les registres paroissiaux devenus obligatoires, non seulement les actes de baptême, mariage, sépulture de leurs ouailles, mais aussi leur surprise ou leur effroi devant un excès climatique (trop d'eau, trop de glace, trop de neige, trop de sécheresse, trop d'orages...) ou devant un phénomène exceptionnel et inexpliqué (tremblement de terre, météorite, comète, aurore boréale...). Depuis les années 1990, la passion croissante des Français pour la généalogie a permis le repérage bénévole, dans ces registres de toutes les régions de France, de milliers de notes sur la météo et les catastrophes naturelles, souvent retranscrites dans les bulletins associatifs. Tout était donc prêt pour une collection de synthèse locale des grands événements climatiques. Cet ouvrage offre ainsi un aperçu de ce qui a pu toucher l'actuel département de l'Isère. On le voit particulièrement ravagé par les inondations, notamment dans la cuvette où la ville de Grenoble a été construite, et frappé plus que d'autres en France par les avalanches et les éboulements de terrain. Depuis le séisme de 463, première catastrophe du genre restée dans les mémoires, jusqu'aux éboulements des Ruines de Séchilienne en 2004, la montagne a tremblé, glissé... Depuis la terrible crue de 1219, qui a ravagé Grenoble, bien d'autres ont marqué l'histoire de la région, les dernières crues majeures étant celles de 1859 à Grenoble, de 1897 à Voiron, de 1948 enfin, celle-ci épargnant Grenoble que les travaux d'endiguement ont enfin appris à protéger, mais frappant encore les communes alentour. Gravures d'hier et photos d'aujourd'hui accompagnent les descriptions et les récits d'époque. Prenez vos moufles et votre cache-nez, sortez votre ventilateur et votre parapluie... et bonne lecture !

Chroniqueur au Dauphiné libéré, historien, Claude Muller s'impose comme étant le détenteur de la véritable mémoire du Dauphiné et de Grenoble. Curieux de tout, il lève le voile sur les énigmes, histoires insolites ou mystères qui ont touché sa région. Les légendes afférant aux sept merveilles du Dauphiné, l'origine du nom Dauphiné, l'étrange Bacchu-Ber, la destinée de 1 a chienne de Napoléon, les vraies recettes du gratin dauphinois, le géant de Romans, Mandrin le Robin des Bois dauphinois, la vague d'O.V.N.I. qui submergea le Vercors : toutes ces petites histoires et bien d'autres encore s'éclairent sous la plume alerte, parfois angoissante, toujours pleine d'humour, de Claude Muller.

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Nés au fil des âges, de l’ère du Taureau à l’ère du Verseau, de Rosmerta la celtique à Marie la Vierge du jeune Dieu Mithra à Pierre de Vaux, ces sites magiques ou sacrés, ont fait de la ville de Lug un centre de mystères, une cité privilégiée d’essence ésotérique. Déjà û l’auteur le démontre û le confluent mystique du Rhône et de la Saône traçait la destinée de Lyon la « brumeuse », Lyon la secrète. D’étranges personnages allaient sur cette terre féconder l’esprit dans des « noces chymiques » parfois surprenantes. Et puis bien entendu, ces hommes de la Franc-maçonnerie et du compagnonnage que l’auteur connait bien, tant il est en communion de cœur et d’esprit avec eux et qui laissèrent dans la cité leur marque d’initiés, souvent profonde, parfois insolite et déroutante. L’auteur s’est également attaché à déchiffrer les messages de pierre, expliquant par exemple pour la première fois le symbolisme caché des bas-reliefs de la cathédrale Saint-Jeanà Ancien directeur délégué de « Lyon Matin »’ au sein du groupe de presse « Le Progrès », Jean Jacques Gabut, croyant et franc-maçon, poursuit avec passion depuis 25 ans une quête spirituelle au sein d’un ordre initiatique et traditionnel : la Grande Loge de France et le suprême Conseil de France où il est parvenu au plus haut degré de la hiérarchie.

Lyon, ville secrète, insolite, plurielle, cachée, rebelle... Même reconnue au titre du patrimoine mondial, Lyon reste méconnue de bien des Lyonnais ! Sa topographie, sa physionomie, son architecture, son histoire fourmillent de lieux insolites, de détails amusants, de vestiges émouvants et d'anecdotes fameuses, qui restent à découvrir ou redécouvrir. Promenez- vous hors des sentiers battus ! Traboules, cours, montées, allées, passages, escaliers, façades, statues, niches, rues, places, jardins, quais, voûtes, belvédères, berges ponctuent ces promenades buissonnières éclairées d'un jour nouveau. Cet ouvrage corrige également certaines légendes qui ont la vie dure, précise des faits historiques longtemps laissés dans la pénombre, dévoile les facettes d'une ville qui n'est pas si secrète, valorise la vie d'aujourd'hui, témoigne enfin que l'UNESCO a eu raison d'inscrire Lyon sur sa liste, et de la reconnaître comme l'une des plus belles villes du monde. Un Lyon méconnu d'une richesse inépuisable, pour connaître les moindres recoins du Site Historique, de la Croix-Rousse à la Confluence en passant par la Presqu'île, et de Fourvière aux berges de la Saône et du Rhône.

Les Mandrins pour leur donner le nom qui ne va pas tarder à retentir dans la France entière, firent leur première apparition le 2 janvier 1754. Les brigadiers des Fermes, établis en Chartreuse, furent subitement attaqués. Les Mandrins disparurent comme ils étaient venus après avoir menacé les brigadiers de faire un mauvais parti s'ils continuaient de faire leur métier! Louis Mandrin a déclaré la guerre aux fermiers généraux et à leurs agents. Ces derniers l'ont ruiné, tué son frère. Ils ont pillé de nombreux braves gens. Cet ouvrage est une excellente étude historique de personnage hors du commun, Louis Mandrin.

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Tourné vers un avenir ambitieux, le nord de l'Isère est un pays de contrastes. En 500 clichés couleur, découvrez ce pays aux multiples facettes, empreint d' histoire et de richesses inattendues.

René Basset, photographe, et Jean-Jacques Lerrant, journaliste, sont à peu près de la même génération. Leurs activités professionnelles les ont amenés à observer les artistes vivant à Lyon. Images et texte sont dans ce livre comme autant de portraits parallèles des peintres et des sculpteurs qu'ils ont connus. Cet ouvrage constitue aussi une étude sur le mouvement des arts à Lyon depuis la seconde moitié du XIXe siècle.

Un guide qui sert aux parents comme aux enfants : chacun à son rythme, à son niveau. Nombreux conseils pratiques et techniques.

Pendant la première moitié du XVIème siècle, les rois de France vont prendre leurs habitudes à Lyon. Ils y résident à la fréquence de leurs humeurs guerrières, de leurs besoins financiers et de leurs passions artistiques. Les Lyonnais ne sont toutefois pas dupes de l'intérêt qu'ils suscitent. Si la Cour leur rend visite, c'est avant tout pour s'assurer d'une ville à la situation enviable, si proche de la frontière. C'est aussi pour composer avec les " étrangers ", italiens pour la plupart, habiles bailleurs de fonds pour les monarques qui préparent perpétuellement une nouvelle campagne... d'Italie. A la fois calculateurs et généreux, contestataires et humoristes, les Lyonnais vont s'enrichir des apports de toutes ces sociétés si diverses : ils accueillent Rabelais, Erasme ou Marot chez Scève ou la divine Louise Labé ; ils écoutent le célèbre Philibert de l'Orme ; ils donnent à l'imprimerie ses plus belles pages, sous la dictée de la religion, de l'école, de la pensée avec, en toile de fond, les bâtisseurs et les marchands de l'Europe entière. Dans le climat d'une Renaissance dont l'art de vivre restera longtemps inégalé, la Cour connaît son temps de fêtes.

Un projet culturel pour fêter le 60ème anniversaire de la libération du pays de vif.

"C'est la faute à Rousseau !" Oui, la Révolution, c'est un peu Jean-Jacques. Mais ses grands ouvrages polémiques, ses Discours, le Contrat social, l'Emile ont été le fruit de ses trente premières années : de Genève où il naquit en 1712, à Lyon, en 1742, en passant par Turin, Annecy et Chambéry où il connut, aux Charmettes, le "court bonheur de [sa] vie". Le récit de ses errances autour des Alpes et de ses deux ans d'exil en Dauphiné doit beaucoup à son propre témoignage, et surtout à ses Confessions.